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Plus de quinze auditrices, très concentrées et actives lors des chants. L'enfance, l'automne et l'étranger ont été évoqués en poésie et nouvelles. Annick a fait revivre le patois charentais avec "la cagouille et l'amour" et la "taupette de Cougna". En hommage à Robert Gélis, dont nous avons appris le décès hier, nous avons lu son très beau poème "l'étranger" paru dans notre anthologie "l'autre". Les chansons de Guy Béart, disparu, lui aussi récemment, ont été appréciées/ Nous nous sommes quittés sur les paroles de "le matin je me lève en chantant". Un beau programme que nos auditrices ont promis de suivre.
Rendez-vous est pris pour novembre.
Dany
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dans : Lettre du voyant : «Je dis qu’il faut être voyant, se faire voyant.»
«Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d’amour, de souffrance, de folie ; il cherche lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n’en garder que les quintessences.»
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Souvenir de notre amie trop tôt disparue...
Poème extrait de " L' automne échevelait les roses"
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Illustré par la couverture du beau livre de Ketty Millet paru en septembre, un extrait de "Je rêve le monde assis sur un vieux crocodile" aux Editions rue du Monde...
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